Quatre garçons dans le vent
Vous l’aurez deviné, je suis une grande fan des Rollings Stones Beatles. Quand j’étais petite, les nineties, on écoutait des K7 sur notre station radio ou dans nos walkman et on regardait des VHS sur nos bons vieux téléviseurs cathodiques. Mon père nous faisait des compilations, à mon frère et moi, et chacun avions une playliste personnalisée selon les goûts de mon père. Mon frère écoutait plutôt du Jacques Brel et moi du Jacques Dutronc. J’ai gardé ce goût de la chanson française mais surtout cette révélation qui m’accompagne encore aujourd’hui Les Beatles, Quatres garçons dans le vent.
Combien de livres n’ais-je pas acheté (en français, en anglais même si je ne parlais pas encore à l’époque), les films, les dessins animés et leurs vinyles. Non seulement j’ai appris à parler l’anglais en écoutant leur chanson - 1e leçon on commence par la chanson Hello Goodbye.
Mais j’ai été envoûtée par le côté vintage et colorée des années 60, surtout à la sortie de leur album Sergent Peppers Lonely Hearth Club Band riche en connotation et surtout leurs expérimentations studio, audio et vidéo qui auront fait de cet album une pépite musicale.
Leurs clips vidéos on en parle ? Strawberry fields forever
Sans compter le clip A Day In The Life où ma passion pour le velours et la couleur bleu canard est née, non mais regardez juste le costume de Jhon Lenon et vous comprendrez